Je disais dans ma première note sur mon essai de pantoun qu’il mériterait d’être relu. Après l’avoir soumis à pantun sayang pour le Printemps des poètes, Georges Voisset lui-même m’a fait ce plaisir.
Mr Voisset m’a aussi éclairé sur ce qui est pour lui la règle absolue que tout bon pantoun doit suivre : les deux moitiés doivent être totalement indépendantes. Il m’a donc invité à remplacer deux adjectifs de mon premier jet pour que mon pantoun en soit vraiment un.